2ème tour des Législatives de 2022
Par --- scalp18 le vendredi, juin 17 2022, 23:39 - Lien permanent
Pour éviter le débat démocratique, le président Macron a fait une très courte campagne.
Notre président est un bon calculateur, mais aussi un cancre dès qu'il s'agit d'appliquer les valeurs républicaines.
Sa politique est néo-libérale, comme celles de François Hollande, de Nicolas Sarkozy ou de Jacques Chirac.
Cette politique de droite produit toujours le même résultat :
plus de Chômage, plus de Pauvreté, plus d'Inégalités et plus de pollutions.
Le quinquennat de Monsieur Macron
n'est pas seulement injuste pour les plus pauvres,
il est surtout pathétiquement stupide en matière d'efficacité économique.
Dans quelque domaine que ce soit, pour progresser, il faut rassembler les énergies et les savoirs faire des salariés.
Les notables de droite divisent pour règner sans partage.
Le résultat, c'est que pour faire baisser le coût du Travail, les néo-libéraux maintiennent volontairement un haut niveau de Chômage.
Et lorsque les militants de la gauche anticapitaliste ne réussissent pas à convaincre les électeurs, ce sont les racistes qui progressent électoralement. Ainsi, c'est plus d'1 million d'électeurs de plus qu'en 2017 qui ont voté pour le Rassemblement National aux présidentielles de cette année.
Et dans le Cher, le RN est au second tour dans la seconde et la troisième circonscriptions.
Le président Macron et ses électeurs nous condamnent à subir une forme modernisée d'esclavage.
Et pourtant, même pour les plus riches, les pollutions les conduiront à voir leurs espérances de vie diminuer.
Mais avec le RN, c'est une autre mélodie qui nous attend.
Le RN n'est pas un parti comme les autres. Le coeur idéologique de ce parti, c'est le racisme.
Qu'ils prétendent le contraire ou pas, les dirigeants du RN sont des nostalgiques de la France du maréchal Pétain.
Les dirigeants du RN mentent comme ils respirent.
Ils mentent parce qu'ils n'ont pas compris que la Démocratie la plus malade sera toujours moins cruelle qu'une dictature.
Par le passé, les militants d'extrême droite n'ont jamais hésité à assassiner ceux qu'ils percevaient comme des obstacles au développement de leur parti.