SCALP18

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pas de progrès démocratique sans progrès social

Le président Hollande a refusé d'amnistier les syndicalistes qui ont défendu leurs emplois.
Lui, président a pondu l'Accord National Interprofessionnel dont le principal objectif est de faciliter les licenciements pour les patrons.
Lui, président veut baisser le "coût du travail" pour donner plus de compétitivité aux biens et services français.
Mais, baisser le coût du travail, c'est bien évidemment baisser les salaires !
Qui est assez bête ou malhonnête pour croire que notre pays va relancer son économie en baissant les salaires ?
Inévitablement, la baisse des salaires diminuera le nombre de biens et de services vendus.
Les économistes de la média-cratie patronale, les prostituées du pouvoir qui présentent les journaux télévisés, maquillées en journalistes, ceux-là ont fait de longues études pour venir nous vendre l'idée que l'économie du pays va repartir avec toujours moins d'argent dans les poches des salariés.
Être cultivé, c'est bien.
Mais, cela ne dispense pas d'avoir du bon sens et de l'honnêteté.

La gravité de notre situation provient de la planification du Chômage, depuis le milieu des années 70.
Les salariés se feront plumer aussi longtemps qu'ils n'auront pas compris que le Chômage est planifié par ceux là même qui prétendent lutter contre.
Le Chômage sera planifié pour diviser les salariés aussi longtemps que les républicains refuseront d'envisager, sérieusement, l'idée que, peut être, ... ce brave Hollande leur a menti , lorsqu'il a prétendu vouloir faire de la lutte contre le Chômage sa priorité.

C'est la lutte qui a donné aux salariés le peu de droits dont ils disposent aujourd'hui.
Celle ou celui qui ne l'a pas compris paiera le prix de sa naïveté, si nécessaire tout au long de sa vie.

L'Humanité doit toujours payer cher lorsqu'elle adopte des préjugés erronés.


Pour éviter que les nostalgiques de la France de Vichy ne soient les seuls "gagnants" de cette succession d'erreurs politiques, la partie démocratique de notre pays doit se rassembler pour montrer au plus grand nombre qu'une politique du progrès est possible.
Notre pays n'est pas condamné à régresser économiquement.
Il dispose des outils nécessaires pour développer une économie au service de tous.
Le seul obstacle se trouve dans les esprits de ceux qui croient sincèrement qu'une politique de valorisation du travail serait impossible.
Non seulement, il est possible de valoriser le travail, mais c'est indispensable !
Pour valoriser le travail, il faut inévitablement augmenter son coût.

Pour faire respecter ceux qui produisent la richesse de notre pays

et construire notre économie,

retrouvons nous,

à l'appel des syndicats, ce mercredi 1er mai 2013 :

à Bourges, à 10h30, place Malus

( avec dépôt de gerbe pour les victimes du nazisme à 9h30, place Malus )

à Vierzon, à 10h30, place de la Résistance

à Saint Amand Montrond, à 10h30, place Jean Girault

à Saint Florent, à 10h30, place de la République

à La Guerche, à 11h00, place du Général De Gaulle

à Aubigny sur Nère, à 10h30, place de la Gare